
La fêlure ; elle se crée un jour, d’un choc, d’un mot, d’une incompréhension, d’une peur dont on n’arrive pas à contenir la puissance par la raison. C’est le débordement de l’entendement. Comme un vice caché fragilise une roche, la fêlure enfonce chaque jour un peu plus profondément ses racines au cœur de l’être. L’infection prend possession de la cellule saine pour en pervertir son avenir. L’alien se fait oublier pour mieux étendre son voile pervers dans un moment inattendu. Les cicatrices se révèlent alors toujours fraîches et innocentes, incapables de contenir le monstre qui s’anime. À la douleur du corps de l’homme, s’ajoute celle de son essence même. Et les êtres cassés, parlent, rient, s’aiment, souffrent et se tiennent debout…malgré tout !






Terrible et bonne série.
Je retrouve avec plaisir ton imagination/création.
On te retrouve là dans ton originalité et la force de ton expression. Bravo Maestro. J’aimerais connaître la vie de ces hommes aux portraits déformés… Qui sont-ils ? Quelles sont leurs fêlures, leurs combats, leurs renoncements, leurs espoirs un temps peut-être…
Bien rendues, mais très difficile pour moi ces peintures, suis-je passée par là? C’est indéniable, tu es un maître!
Bonjour. Vous. Retrouvé. Dans ces étranges méandres de l’informatique. C’est vraiment vôtre style très reconnaissable. Vos tons. C’est très réussi. Mais du fait de mon extrême sensibilité…je n’irais pas revoir ces dernières oeuvres. Vous n’y êtes pour rien. A vous suivre pour des teintes d’été. Cathy Maya
On sort rarement indemne de l’existence..
Quelle imagination !!! Certains matins je me retrouve comme çà mais le naturel revient après… Bravo Serge
C est un passage que je vis en ce moment
Pour écrire un texte comme celui-ci et avoir auparavant réalisé cette série si forte, si original -car je ne connais pas d’équivalence pour l’instant-, il faut avoir ressenti soi-même, à un moment donné cette fêlure mise en scène dans ces toiles…..